Ah... ça avance tout doucement! Grâce à un soleil chauffant, j'ai réussi à cocher des cases sur ma liste de 'choses-à-faire' aujourd'hui. Je travaillais encore sous la bâche quasiment en t-shirt car ça faisait effet de serre. Quel bonheur de pouvoir travailler en plein hiver bien au chaud!

Alors, au menu du jour j'avais comme mission d'enlever l'ultime passe-coque sous le cockpit. A vrai dire, l'aventure des passe-coque s'est bien passé mais c'était une mission ardue. Très honnêtement, je dirais que les passe-coque ne datent pas d'hier, voire ils sont d'origine. Du coup, même si l'on essaie de tourner un écrou, ça ne bouge pas... L'outil de dernier recours c'était mon petit Dremel doté de disques coupantes. Avec une bonne dose d'huile de coude et un peu de patience ça prend forme. Il y a donc 4 trous dans la coque. Je pense que ça va aller nettement plus vite quand je remplacerai le tout avec du neuf! A suivre...

A l'aide d'une scie à métaux, c'est comme du beurre!

Ensuite, je pousse ce qui reste vers l'intérieur du bateau

Passons aux winchs. A priori, démonter les winchs devrait une chose assez élémentaire à faire. Quoi que... Je compte remplacer les winchs de génois Lewmar n°6 (encore en bon état, mais sous-dimensionné) par une paire de Andersen n°12 self-tailing flambants neufs. C'était mon cadeau de Noël. :) Revenons à nos moutons... Je commence par enlever le clip qui tient la poupée de winch à l'aide d'un tournevis.

On n'est pas souvent bien installé dans les positions de gymnaste. En plus, je rentre difficilement avec mes 1,90m dans le coffre à bâbord. Il faut garder le sourire.

Enfin la nable d'entrée d'eau douce qui se trouve à tribord juste derrière le winch de génois. Depuis le temps que je rêve de remplacer la veille nable en plastique, je ne m'attendais pas à avoir autant du mal à l'enlever. Ce machin avait été bien collé! J'ai donc dû la découper en petits morceaux (la partie champignon) comme pour le passe-coque. Quel bonheur!